La variété des nouilles froides pour bien passer l’été au Japon

La variété des nouilles froides pour bien passer l’été au Japon

Nos amis suisses n’aiment généralement pas manger les nouilles froides. Mais si vous êtes au Japon en été, où il fait extrêmement chaud et humide, vous apprécierez les nouilles fraîches et froides, parfois servies sur de la glace.

Voici des exemples de différents types de menus dans lesquels sont servies des nouilles froides.

Tempura-soba

Tempura avec nouille froide de sarasin

Hiyashi-somen

Le synonyme de l’été, des nouilles japonaises très fines, tirées à la main, à base de farine de blé. Vous retirez quelques pailles de ces nouilles de l’eau glacée et les trempez dans la sauce dashi pour les manger.

Hiyashi-chuka

Une salade froide de ramen d’été japonais, garnie d’œufs, d’imitation de crabe, de jambon, de concombre et de tomate, et arrosée d’une vinaigrette au sésame.

Tsukemen

Plat de ramen de la cuisine japonaise composé de nouilles que l’on mange après les avoir trempées dans un bol de soupe ou de bouillon séparé.

Hiyashi-Udon

Les udon, nouilles épaisses à base de farine de blé, sont servis dans un bouillon froid.

Hiyashi-kishimen

Pour les étés chauds, le Hiyashi Kishimen, une sorte d’Udon plat sur glace pilée, est très populaire.

Meilleures voeux 2022

Meilleures voeux 2022

YUZU Voyages vous souhaite une heureuse nouvelle année.  Nous attendons avec impatience la réouverture du Japon, afin de réaliser votre rêve.

L’année prochaine est l’année du Tigre, qui est considérée comme une année de « nouveaux départs » et de « croissance ».

Ce puissant dessin à l’encre d’un tigre a été réalisé par Nagasawa Rosetsu (1754-1799), peintre de génie de la période Edo, pour le temple zen Muryouji. La légende veut que Rosetsu ait peint en une seule nuit sur six portes coulissantes, ce félin, symbole de vitalité. Comme les tigres n’existaient pas au Japon à l’époque, Rosetsu a dû s’inspirer de la littérature et des peintures chinoises. La longue queue, les moustaches et l’expression humoristique du tigre nous rappellent un chat.

Ce tableau à portes coulissantes a traversé la mer pour la première fois en Suisse à l’automne 2019. Exposé dans une salle du musée Rietberg de Zurich, dans une splendide reproduction de la pièce principale du temple Mumyoji, ce tableau est un véritable chef-d’œuvre, et le tigre semble s’échapper.

Temple Muro-ji sur la péninsule de Kii

Les porte coulissantes completes

Lunch japonais avec des copines à Genève

Lunch japonais avec des copines à Genève

 

 

Le dernier jour de janvier, j’ai été invitée chez une amie à Genève pour un déjeuner à quatre. Etant une historienne de l’art, elle a non seulement bien préparé les plats, mais elle les a aussi servis dans de beaux récipients traditionnels japonais. Nous, invitées, avons également apporté des plats dignes du début de l’année.

Kuri-kinton, purée de patates douces et des châtaignes, est aussi un plat typique du Nouvel.

Sunomono de radis blanc, carottes et konbu (une sorte d’algue) vinaigrés

Bol en bois laqué avec les fleurs de prunier peintes à la main. La fleur de prunier est un symbole du début d’année et du printemps. Antiquité.

O-zoni est un repas typique du Nouvel An dont mochi (le gâteau de riz)  est le principal ingrédient. L’assaisonnement de la soupe et les ingrédients mis avec le mochi sont diffèrent selon la région.  Il est donc intéressant d’apprendre l’origine de la cuisinière à partir d’O-zoni.

Soja noir sucré est servi dans une kiku-zara, assiette en forme de fleur de chrysanthème

Datemaki, apporté par une des invitées. Une omelette douce faite avec la purée de poisson.

O-Sekihan, littéralement signifie riz rouge. Il est composé de riz de mochi et de haricots rouges. Il est toujours servi lors d’occasions heureuses.

Saké, servi dans le pot et les coupes de la poterie de Kutani de la région de Kanazawa

Les ornements du Nouvel An des shimenawa (un art à base de torsades de paille de riz ), un pin et d’un phénix en mizuhiki ( un art à base de cordelettes de papier tressé)

Tofu de Mont Koya

Bol à thé Oribé

Bol à thé Oribe

I hope…

I hope…

 

 

Découvrez les nouvelles œuvres de Chiharu Shiota en ligne. Son exposition personnelle à Berlin, « I HOPE…  » est ouvert au public. La célèbre galerie de Berlin, la Koenig Gallery, présente la nouvelle exposition personnelle de Chiharu Shiota « I HOPE… » en ligne. Vous pouvez profiter de l’immense installation en ligne.

https://www.koeniggalerie.com/exhibitions/28966/current-chiharu-shiota/

Le nouveau travail de Shiota, « I HOPE… est une installation composée de fils, de lettres et d’un bateau.

Des fils rouge vif sont suspendus à l’immense espace et symbolisent Shiota. Jusqu’à 10 000 lettres envoyées du monde entier ont été suspendues à ces fils rouges. Les lettres, imprimées sur du papier rouge, contiennent divers « espoirs » et montrent l’importance de les avoir dans un monde où une nouvelle pandémie de coronavirus se poursuit.

Sous les lettres, Shiota a installé un bateau abstrait avec seulement un cadre. À l’occasion de son exposition personnelle en 2019, Shiota a dit de ce motif « bateau » : « Il est solitaire, mais il est dans l’univers. Il montre que nous avançons dans une certaine direction (mais si nous faisons demi-tour, la mort nous attend) ». C’est le dernier travail de Chiharu Shiota, qui peut être considéré comme sa réponse à la pandémie.

A propos d’artiste

Chiharu Shiota est né à Osaka en 1972. Elle vit actuellement à Berlin. Tout en confrontant les questions de la vie et de la mort, et en explorant « qu’est-ce que la vie » et « qu’est-ce que l’existence », elle crée des installations de grande envergure, comme une exposition dans laquelle elle tend de nombreux fils à travers un espace et une autre exposition utilisant un grand nombre de chaussures usées.

Mes petites astuces pour faire le bon choix de restaurant de sushi au Japon

Mes petites astuces pour faire le bon choix de restaurant de sushi au Japon

寿

 

Cela peut paraître surprenant, mais la première chose que je cherche dans les secondes qui suivent mon entrée dans un nouveau restaurant, c’est le comptoir. Un bon restaurant de sushi a toujours un comptoir où les clients peuvent voir le chef cuisinier préparer des sushis devant eux. Et je vérifie également l’aspect du comptoir. Si le comptoir ne me semble pas satisfaisant, je quitterai le restaurant immédiatement. Parce que le comptoir montre l’engagement du chef sushi. Si le comptoir est correct, vous pouvez être assuré que la qualité des sushis est également bonne.

La caractéristique d’un bon comptoir de restaurant de sushis est qu’il est fait d’une seule pièce de bois nature épaisse. Pour la planche de comptoir, on se sert souvent de cyprès japonais blanchâtre non traité.

En revanche, si la planche de comptoir est mince, colorée, vernie avec des motives décoratives, soyez prudent. Vous ne pouvez pas vous attendre à manger des sushis de bonne qualité.

Bien sûr, c’est une condition préalable d’aller dans un restaurant spécialisé dans les sushis. Les chefs de sushi doivent non seulement avoir des connaissances et des compétences très pointues sur la façon de couper le poisson, de gérer la fraîcheur, le timing et la cuisson du riz, mais ils doivent également être très attentifs à l’hygiène. On dit qu’’il faut plus de 10 ans de formation pour devenir un véritable chef de sushi : 3 ans pour cuire du riz et 8 ans pour faire de nigiri. Pour preuve que les Japonais reconnaissent la fabrication de sushis comme une véritable métier, il est rare que les Japonais fassent leurs propres sushis à la maison. Ils les mangé dans un restaurant, ou les acheté ou les faire livrer.

 

Les sushis tournants sont amusants et faciles à comprendre pour les étrangers. Mais une fois que vous allez au Japon et que vous avez envie de manger des sushis de très bonne qualité, vous êtes invité à vous rappeler mes petites astuces mentionnées ci-dessus.